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Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

Yazu - 20 Aug 2024

J'adore la musique Sarde-Getz et le casting de malade mais sinon j'avais trouvé ça sans plus, je suis souvent déçu par les films de Lautner.

Big Guns, c'est efficace sans être transcendant.

Fan de Miller (Gérard)

saladbowl - 21 Aug 2024

Moi non plus je ne suis pas fan de Lautner mais en dehors des Tontons flingueurs, j'avais adoré Le septième juré avec Blier. Après, tout ça c'est il y a longtemps...

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

Sorti hier j'ai vu 0 promo:

Le décodeur
Mariole

clott - 22 Aug 2024

Revu justement l'original hier soir, qui reste un sympathique film d'action/vengeance bien ancré dans son époque : gothiques (très gothiques) qui jouent de la guitare électrique, ados qui font du skate, BO un peu grunge. À ranger dans la catégorie "bon film d'ado".

Fan de Miller (Gérard)

Du lourd.
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/67680844

Événement
Napoléon vu par Abel Gance
Dimanche 8 septembre à 21.00 sur France 5 et sur france.tv pendant 30 jours
Logo de la plateforme france.tv
Logo France 5
France Télévisions vous offre pour la première fois sur vos écrans le chef-d'œuvre du cinéma muet Napoléon vu par Abel Gance. Après seize années de reconstruction et de restauration minutieuse par la Cinémathèque française, avec le soutien du Centre national du cinéma et de l'image animée (CNC), le film tel qu'Abel Gance l'avait imaginé en 1927 sera diffusé en deux parties.

Napoléon vu par Abel Gance est une œuvre monumentale qui retrace la vie de Napoléon Bonaparte, de son enfance à ses premiers triomphes militaires, en passant par ses ambitions impériales.

De nombreuses innovations techniques et esthétiques font de l'œuvre un film révolutionnaire et avant-gardiste : caméras montées sur des chevaux ou encore la fameuse fin en triptyque polyvision, sur trois écrans en simultané. Avec un casting grandiose et des milliers de figurants, le film bouleverse le public et la critique lors de sa première projection à l'Opéra de Paris le 7 avril 1927.

La restauration, dirigée par le réalisateur et chercheur Georges Mourier, a permis de ressusciter les images d'origine avec une clarté et une profondeur exceptionnelles, respectant l'intention artistique d'Abel Gance. Ce travail colossal offre au public l'occasion de redécouvrir l'un des joyaux du cinéma muet avec une qualité inégalée.

L'épopée du Napoléon vu par Abel Gance, de sa réalisation à son exploitation, de sa sauvegarde à ses multiples restaurations et finalement à sa reconstruction est l'une des plus complexes de l'histoire du cinéma, transformant cette œuvre en véritable « légende ».

Ce film épique illustre de manière magistrale l'une des personnalités les plus emblématiques de l'histoire de France.

Avec Albert Dieudonné, Wladimir Roudenko, Nicolas Koline, Annabella, Alexandre Koubitzky, Edmond van Daële, Antonin Artaud, Maryse Damia, Philippe Hériat, Gina Manès, Marguerite Gance, Abel Gance…

Quelques chiffres :

16 ans de travail
1 000 boîtes et 300 kilomètres de pellicule expertisées
Des copies dispersées dans le monde entier
148 extraits musicaux compilés issus de 104 œuvres écrites par 48 compositeurs différents : 200 ans de musique, de Haydn (né en 1732) à Penderecki (mort en 2020)
Simon Cloquet-Lafollye a écrit certaines transitions, en plus d'avoir soigneusement arrangé 7 heures de musique
Reconstruit et restauré par la Cinémathèque française, avec le soutien du CNC (Ministère de la Culture), sous la direction de Georges Mourier, avec le laboratoire Éclair Classics/L'Image Retrouvée

Mis en musique par Simon Cloquet-Lafollye, interprétation par Benjamin Bernheim, ténor, l'Orchestre National de France, l'Orchestre Philharmonique et le Chœur de Radio France, sous la direction de Fabien Gabel

Grands Mécènes : Netflix, Michel Merkt, Golden Globe Foundation

Mécène de la musique : Aline Foriel-Destezet

Mécènes : Fondation Napoléon, Champagne Brimoncourt, Transperfect, Michèle Ray-Gavras

Avec le soutien exceptionnel de : La Fondation des Amis du Festival de Cannes

Partenaires : Radio France, Centre National de la Musique, Sacem, Département des Hauts-de-Seine, Pathé, France Télévisions

Edit par Yazu (22 Aug 2024)

Ally McBeal
Blueberry

Yazu - 22 Aug 2024

Excellente nouvelle, merci du partage, j'ai manqué les projections des trop rares cinémas qui le passaient cet été smiley130

Et puis bon, ce sera plus confortable de se farcir 7 heures de film depuis chez soi en choisissant quand faire des pauses xzibit_yo

Chocolourd
Ahsoka

Jojo - 22 Aug 2024

ils sont trop cons, ils auraient du assumer

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

Blueberry - 22 Aug 2024

Tout pareil même si ça aurait été top de voir ça au Cinéma avec un orchestre.
Il me semble que c'est ce qu ils avaient fait il y a plus de 10 ans à Londres, et Ridley Scott en personne était venu prendre des notes smiley77

Le décodeur
Mariole

Curieux de voir le résultat final smiley61

Fan de Miller (Gérard)

Jojo - 22 Aug 2024


https://www.lesinrocks.com/cinema/showg … 4-09-2016/

Réhabilitation : "Showgirls" de Paul Verhoeven n'est plus un navet !
par Jean-Marc Lalanne

Publié le 14 septembre 2016 à 17h19
Mis à jour le 14 septembre 2016 à 17h19


Elizabeth Berkley dans <i>Showgirls</i>. © Pathé Production

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En vingt ans, le film de Paul Verhoeven est passé du statut de navet repoussant à celui de brûlot politique adulé. Retour sur les paliers de cette réhabilitation en compagnie du malicieux cinéaste hollandais.

Lorsqu'au mitan des années 1990, Paul Verhoeven entreprend le montage financier de Showgirls, il est un cinéaste comblé. Installé aux USA depuis moins de dix ans, il a atteint en trois films le zénith de la reconnaissance commerciale : RoboCop (1987) a rapporté plus de 50 millions de dollars sur le seul territoire nord-américain ; le blockbuster SF avec Arnold Schwarzenegger, Total Recall (1990), puis Basic Instinct (1992), près de 120 chacun.

A bien des égards, Showgirls vise à rééditer le coup de Basic Instinct : une bombasse blonde quasi inconnue promise à un devenir star (après Sharon Stone, la jeune Elizabeth Berkley, vue dans le soap Sauvés par le gong) + une promesse de soufre et d'érotisme (le film se déroule dans les coulisses d'un show de danseuses de Las Vegas) + une relecture updatée des grands classiques hollywoodiens (si Basic Instinct se référait à Hitchcock, le scénario de Showgirls s'inspire du Eve de Mankiewicz – rivalité ambiguë d'une débutante et d'une vedette).

"On en parlait comme du plus mauvais film jamais montré"

Du rêve que fut le lancement de Basic Instinct, Showgirls est le cauchemar. A sa sortie américaine, en septembre 1995, la presse US sort les couteaux. Dans le New York Times, Elvis Mitchell parle d'un film "où personne ne sait jouer". Dans Variety, Todd McCarthy décrit une œuvre "impossiblement tapageuse et vulgaire". Dans le Chicago Reader, le grand Jonathan Rosenbaum fulmine : "Le cynisme du scénariste et du cinéaste dégouline de dégoût aussi bien pour leurs personnages que pour le public."

Contacté au téléphone dans sa villa de L. A., Paul Verhoeven se remémore cet hallali : "En effet, tout le monde semblait avoir un problème avec le film. Les critiques n'étaient pas seulement négatives. C'était une flambée d'agressivité et de haine. On en parlait comme du plus mauvais film jamais montré. Beaucoup étaient choqués par la nudité, trouvaient la façon de l'exhiber indécente, obscène."


"Evidemment, je savais que le film était féroce, dérangeant, antipathique" Paul Verhoeven

"D'autres voyaient davantage ce que j'avais voulu faire, comprenaient que Las Vegas était une métaphore de l'industrie du spectacle, d'Hollywood, et au-delà une sorte de concentré d'Amérique. Mais cette dimension critique exacerbait leur haine. Evidemment, je savais que le film était féroce, dérangeant, antipathique. Je ne peux pas dire que j'étais entièrement surpris. Mais la violence des réactions a dépassé toutes mes attentes."

Au-delà du sujet, de la dimension sarcastique de cette ascension d'une danseuse arriviste prête à casser les jambes de ses concurrentes, c'est la forme même du film qui est incomprise. Cette façon propre à Verhoeven de doubler le récit de sa propre parodie, de tout emphatiser jusqu'à la farce et au retournement complet du sens (encore contenue dans Basic Instinct, totalement déployée et donc plus lisible dans Starship Troopers) ne passe pas. "Oui, mon écriture est hyperbolique. Les comportements sont over the top tout le temps. Cette forme d'outrance, cette écriture fondée sur l'exagération, ont été jugées ridicules."

"Quelques idées rances sur le sexe et le pouvoir"

En France, le déchaînement est moins violent, mais la plupart des articles sont négatifs : François Gorin (Télérama) dit que "la chair mécanique envahit l'écran. Jusqu'au grotesque. Jusqu'à la nausée" ; dans Les Inrocks, Frédéric Bonnaud considère que Verhoeven s'égare entre "le respect de la commande et la critique qu'il croit en faire" ; dans les Cahiers du cinéma, Bill Krohn ne voit que le prétexte "à faire passer quelques idées rances sur le sexe et le pouvoir".



Plus grave que ce consensus critique négatif partout dans le monde, le film est un échec commercial cinglant. Fort d'un coût de 20 millions de dollars, il n'en rapporte que 10 sur le territoire nord-américain et ne couvre que 80% de ses frais à l'issue de son exploitation en salle.

C'est en France que frissonnent les premiers signes du recours en grâce. Dans Les Inrocks, en mars 1998, Frédéric Bonnaud invite le cinéaste Jacques Rivette à commenter un large panel de films en cours d'exploitation. Il lui soumet Starship Troopers. Celui qui fut l'un des plus affûtés critiques des Cahiers saisit l'occasion pour clamer son amour inconditionnel de Showgirls : "Showgirls est un des plus grands films américains de ces dernières années (…) L'actrice est stupéfiante ! Et comme tout Verhoeven, c'est très déplaisant : il s'agit de survivre dans un monde peuplé d'ordures, voilà sa philosophie (…)".

La déclaration fait l'effet d'un coup de tonnerre et amorce une réhabilitation critique du film. Elle remonte même jusqu'aux oreilles de Verhoeven : "Oui, j'ai eu écho des propos de Rivette. Je n'en revenais pas. C'était quasiment le premier homme à aimer le film (rires)."

"Je m'attendais à voir un navet et j'ai adoré"

Dans le même temps, une autre génération ayant beaucoup œuvré pour le rayonnement artistique français à l'international s'empare du film. Non pas la Nouvelle Vague, mais la French Touch. Dans Eden (2014), qui nous renvoie aux premières heures, début des 90's, de l'histoire du mouvement electro, la réalisatrice Mia Hansen-Løve met en scène l'un des organisateurs des soirées Respect du Queen (où ont explosé les Daft, Dimitri From Paris, Cassius, Sven Love…), David Blot, interprété par Vincent Macaigne.

On le voit organiser chez lui un ciné-club où, chaque semaine, il montre Showgirls à ses potes DJ en leur expliquant que le film est génial. Mia Hansen-Løve se souvient de ces séances d'amusant endoctrinement : "David était obsédé par le film. Il nous le montrait en boucle. Je pense que la fascination que nous partagions pour Showgirls tenait aussi à un certain dépaysement, au peu de goût que nous avions pour la France, ses mythologies. Et même doublé du regard ironique de Verhoeven, le monde que décrivait Showgirls nous paraissait plus vaste".

"Le film ne m'a pas paru cynique, mais d'une grande légèreté" David Blot

David Blot n'a pas découvert le film en salle mais un peu plus tard, en DVD : "Je n'étais pas spécialement fan de Verhoeven. J'aimais RoboCop et Total Recall mais pas Basic Instinct. J'ai d'abord regardé Showgirls parce que je trouvais Elizabeth Berkley vraiment mimi. Je m'attendais à voir un navet et j'ai adoré. Le film ne m'a pas paru cynique, mais d'une grande légèreté. Son héroïne est même très touchante."

"Le film est en fait assez moral (beaucoup plus que Basic Instinct qui est un peu crapoteux). Tout y est laid, les décors, les costumes, la musique vraiment pourrie de Prince, mais la mise en scène très gracieuse confère à tous ces éléments quelque chose d'enchanteur. Alors, c'est vrai, j'ai eu envie de le montrer à tous mes potes."

"La MGM a gagné plus de 100 millions de dollars grâce aux recettes VHS et DVD"

Durant cette période, la fin des années 1990, le marché du DVD explose. L'exploitation domestique profite souvent aux objets parés d'aucun prestige culturel, qu'on n'irait pas voir en salle mais qui, dans l'intimité du foyer, promettent des plaisirs un peu coupables. Le film connaît alors une seconde vie, passant du statut de bide à celui de produit très rentable.

"Ça a été une vraie surprise, renchérit Verhoeven. Le film est devenu un très grand succès. La MGM a racheté les droits au producteur Mario Kassar et a gagné plus de 100 millions de dollars grâce aux recettes VHS et DVD, dix fois plus que les recettes salle ! Hélas, je n'ai pas touché un dollar dessus. Sur Starship Troopers et Hollow Man, je n'ai pas manqué de modifier mon contrat et ai pu bénéficier de ces recettes à long terme (rires)."

Durant toutes les années 2000, la cote critique du film se recompose. De façon exemplaire, Jean-Francois Rauger – qui avait écrit en 1996 une critique négative dans Le Monde close par la formule cinglante : "Le vide, même avec la conscience de la vacuité, reste le vide" – milite pour la réévaluation du film dans de successives notules télé toujours plus élogieuses.

Quentin Tarantino juge le film "sauvage, fou et fun"

En septembre 2004, les Cahiers du cinéma consacrent pour la première fois un dossier important à Verhoeven (auteur jusque-là peu prisé par la revue). Dans cet ensemble, Jean-Michel Frodon écrit un texte très élogieux à l'égard de Showgirls : "La finesse du film consiste à modifier en permanence, quasiment scène par scène, la ligne de partage entre bons et mauvais, sans jamais en questionner le principe."

La réhabilitation s'amplifie dans les années 2010. Pour culminer en 2014 : tandis qu'en France sort Eden, Quentin Tarantino écrit un texte dans le LA Times où il confesse adorer le film, jugé "sauvage, fou et fun" et admire la façon dont Verhoeven ressuscite dans un produit hollywodien à gros budget un genre lié au pur cinéma d'exploitation : le strip-club movie.

Enfin, la même année, un critique de Toronto, Adam Nayman (collaborateur entre autres à la prestigieuse revue en ligne Cinema-scope) publie un essai voué au culte du film, avec un titre provocant, It doesn't suck, Showgirls, et une jolie couverture entièrement rose. Nayman compare le film à Eyes Wide Shut, analyse en détail la virtuosité de son montage et de sa mise en scène.

"Je reste attaché au travail formel que j'avais conçu, à la fluidité de cette caméra" Paul Verhoeven

Lorsqu'on demande à Verhoeven si un tel retournement le fait jubiler, il relativise : "Comme vous le savez peut-être, j'ai travaillé des années sur un livre relatant la vie du Christ. Pour cela, j'ai beaucoup fréquenté les bibliothèques universitaires. Je me souviens d'une fois, il y a une quinzaine d'années, où deux respectables professeurs s'étaient approchés discrètement de moi et m'avaient chuchoté à l'oreille, presque en rougissant : 'Vous savez, nous adorons Showgirls !" (rires) Ça, ça m'avait rempli de joie. Mais aujourd'hui, quand on me dit qu'on aime le film, ça ne me surprend plus. C'est presque devenu banal. Mais oui, quand même, je suis content. Je reste attaché au travail formel que j'avais conçu, à la fluidité de cette caméra toujours en mouvement. Mon modèle était Huit et demi de Fellini."

"C'est quand même pas non plus La Porte du paradis de Cimino"

Le retournement est si considérable que le film court presque aujourd'hui le risque inverse : décevoir pour avoir été (tardivement) couvert de trop d'éloges. David Blot prend le soin, par exemple, de préciser : "J'adore le film mais c'est quand même pas non plus La Porte du paradis de Cimino. Faut se calmer."

Dans leur hilarante pastille humoristique sur le site d'Arte, Tutotal, Maxime Donzel et Géraldine de Margerie consacrent leur numéro 100 au film et ne manquent pas de railler ce culte tardif. Un de leurs protagonistes farfelus s'exclame : "Bon, on va pas se mentir, le film est une bouse, mais comme il y a cinquante connards qui passent leur temps à hurler au génie, ils ont fini par accepter de le ressortir."

C'est donc au risque de faire grossir la meute des "connards", et sans forcément crier au génie, qu'on ne saura trop conseiller quand même de profiter de cette ressortie massive et polymorphe (salles, DVD, Blu-ray) pour (re)découvrir Showgirls, ses danseuses héroïques et guerrières, son humour raffiné, sa cruauté feinte et sa candeur cachée, et surtout son étourdissante mise en scène, à l'apesanteur ophulsienne.

Showgirls de Paul Verhoeven, avec Elizabeth Berkley, Kyle MacLachlan (E.-U., 1995, 2 h 08, reprise)

C'est en France que frissonnent les premiers signes du recours en grâce.

chirac_lafrance

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

Yazu - 23 Aug 2024

Ce film smiley80

Evidemment, c'est facile de crier au génie au moment de la réhabilitation mais je préfère 100 fois Showgirls à Basic Instinct qui est le Verhoeven que j'ai le moins aimé.

Le décodeur
Mariole

Yazu - 23 Aug 2024

Vu récemment, assez surpris de sa faible cote parce que c'est vraiment un très bon film pepe_feelsgood

(un peu en dessous de Basic Instinct quand même)

Fan de Miller (Gérard)

saladbowl - 23 Aug 2024

Ah j'ai adoré les 2, perso. Tu préfères même Hollow Man (que j'ai bien aimé quand même) à BI ?

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

Yazu - 23 Aug 2024

Hollow Man est un film que j ai poncé à l'adolescence donc assez fan du film oui.
Mais je ne l'ai pas revu depuis cela dit (et Basic Instinct pas revu non plus) et je suis conscient de ses limites smiley76

Pas vu Tricked et la plupart de ses premiers films néerlandais mais j'aime tout ce que j'ai vu (et même BI donc).

Fan de Miller (Gérard)

saladbowl - 23 Aug 2024

Turkish Délices est excellent par exemple pepe_feelsgood

Et ce film de Verhoeven sort bientôt en BR :

Coeur-de-pierre-Combo-Blu-ray-DVD.jpg
smiley4

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

Yazu - 24 Aug 2024

Je me demandais aussi d'où ça sortait ce machin smiley12

Oui ben j'ai vu Turkish Délices et aussi Spetters, deux films encore plus trashs que tout ce qu'il a fait après et pourtant émouvants.

Brosse le caniveau
Beauce_de_Findenivot

Je retombe là dessus…

Monument du 7e art pepe_feelsgood

Fan de Miller (Gérard)

saladbowl - 24 Aug 2024

Oui ce ne sont pas des films familiaux pepe_stress La Chair et le Sang (film en partie néerlandais lui aussi) est aussi bien hardcore.


Sinon, Alien Romulus : comme prévu (c'est un film d'Alvarez), cet opus est beaucoup moins beau, ambitieux et fou que ceux de Scott, mais il y a de bonnes idées (comme ), de bonnes scènes et de beaux plans par-ci par-là... Le sound design est parfois sympa et l'androïde est intéressant mais pas assez développé à mon goût, et la toute fin un peu plate. Et j'ai dû supporter pendant une bonne partie du film un fan de Baldur's Gate 3 (d'après ses dires) bouffer son pop corn smiley94


Si vous voulez un film assez original, je recommande plutôt Trap : un film au concept simple mais bien décomplexé (ceux qui se marraient des incohérences de Furiosa ne vont pas s'ennuyer smiley12), jusque dans les derniers plans, pas mal d'humour donc (la salle riait régulièrement), un bon rythme, une mise en scène élégante avec une bonne utilisation de l'espace, une très belle photo (par le chef op régulier d'Apichatpong)... Josh Hartnett est excellent et adorable. Et la salle était silencieuse, à part pour les rires pepe_feelsgood (alors qu'elle ne semblait pas moins remplie que pour Alien, voire plus).

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl

https://www.20minutes.fr/diaporama/diap … eu-guepard

Ils avaient tourné plusieurs films ensemble. Jean-Paul Belmondo, arrivé en scooter à Douchy, est venu rendre un dernier hommage à Alain Delon et assister à ses funérailles. Les deux légendes du cinéma  ont notamment joué ensemble dans Paris brûle-t-il ?

L'article écrit par le stagiaire zoomer smiley11

Yuugen

Yazu - 24 Aug 2024

Vu aujourd'hui à Paris entre les obèses rolistes, un mec qui parlait de Bethesda, Avatar dans la salle, et un mec qui parlait de cartes pokemon le tout avant la séance. J'ai songé plusieurs fois à partir mais j'avais payé mon ticket...
Ps : le film est nul. Autant Prometheus et Covenant étaient mauvais mais ils essayaient un truc alors que là je sais même pas si je préfère Resurrection à celui là qui n'apporte rien en fait.

Brosse le caniveau
Beauce_de_Findenivot
Chocolourd
Ahsoka

saladbowl - 24 Aug 2024

more like déjà écrit il y a 10 ans

Kelevra04
Yazu a écrit :

saladbowl - 24 Aug 2024

Josh Hartnett est excellent et adorable.

Tiens en parlant du goat Josh j'ai revu The Faculty récemment et c'est toujours aussi con bon pepe_feelsgood

Puis ce casting bien 90 comme il faut : Josh, Salma, Elijah, Famke, Robert Patrick, Jordana (mais si la soeur de Vin Diesel dans Fast & Furious), Usher...

Fan de Miller (Gérard)

Yuugen - 24 Aug 2024

Ils ont essayé et réussi.

Oui, tout comme son Evil Dead, Romulus n'apporte pas grand-chose. Si on voulait jouer avec les mots, on pourrait dire que son aspect melting pot est sa singularité (mais même cela aurait pu être mieux fait) mais espérons plus d'audace pour les prochains.

Kelevra04 - 25 Aug 2024

Oui, un vrai bon film.

Novad-19

Yazu - 25 Aug 2024

le chat qui s'appelle belmondo smiley11

The last goy

Yazu - 26 Aug 2024

Ce film a l'air d'être un immense remix servi tel quel sans gène...

Edit
Fétide: intéressant, ce deuxième lien au dessus ne veut pas s'intégrer...

GV2QH-tWcAAsxK_?format=jpg&name=small

Terry Masters

J'ai rien suivi du Alien, c'est que des teen dans ce film, c'est quoi le délire smiley36

Edit par Terry Masters (26 Aug 2024)

nous montre son minou
Ebichu

Gyumao - 26 Aug 2024

Heu... C'est pas un peu une image générée par IA ?

Edit par Ebichu (26 Aug 2024)

triquiqette
Triquy

Gyumao - 26 Aug 2024

J'avais vu le 1 (bien) le 2 (aucun souvenir) je savais pas qu'il y avait eu un 3. Il est bien ?

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

Triquy - 26 Aug 2024

Le 3 ressemble à un reboot fauché smiley116
Le 2 était beaucoup plus ambitieux.

J'ai pris cher man !
sherman

.O. - 26 Aug 2024

Oui enfin une asiatique aux cheveux rasés c'est pas non plus le truc le plus original (coucou The Creator), m'étonnerait que quand tu voie le film la référence te saute aux yeux

Idem Cailee Spaeny qui peut avoir des airs d'Ellie mais qui a exactement la même coiffure et look que dans Civil War

Edit par sherman (26 Aug 2024)

J'ai pris cher man !
sherman

Silvername - 17 Aug 2024

Même avis au final, des trucs bien mais trop convenus déjà vus. Je suis pas aussi extrémiste que certains qui disent que ça apporte rien car ya quand même des efforts (le début dans la mine, le fonctionnement des androïdes, le comportement des facehuggers, le raccrochage Prometheus) mais c'est pas très bien amené et surtout noyé dans le osef, c'est pas assez au final je trouve

J'ai quand même bien aimé le dernier alien , j'avais hésité à emmener mon gamin je crois que ça l'aurait
traumatisé pour les années a venir il est vraiment dégueulasse smiley6

Fan de Miller (Gérard)

.O. - 26 Aug 2024

L'actrice principale est pas mauvaise.

Terry Masters - 26 Aug 2024

Ca fait partie des quelques éléments du film qui renouvellent un peu la saga.

Triquy - 26 Aug 2024

Le 3 est sympa mais c'est plus un remake du 1 qu'une vraie suite. Et oui, c'est du petit budget mais le 2 (qui avait coûté beaucoup plus cher) avait largement bidé...

Homeless
Homework

Triquy - 26 Aug 2024

1 bien, 2 bien (pas objectif), 3 nul

l'haleine
Fetide

.O. - 26 Aug 2024

https://publish.twitter.com/?query=http … dget=Tweet

Même sur le site de X cela ne fonctionne pas, ils disent que c'est peut être parce que le tweet est en privé...

triquiqette
Triquy

Merci pour les retours.

Sinon le retour du roi :

Les essais YouTube ciné ça me gonfle très vite mais les siens étaient parmi les seuls que j'aimais vraiment à l'époque. C'était amusant de voir à quel point il avait pu influencer tous les autres qui l'ont repompé allegrement

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl
Ceiling Clott is watching you masturbate
clott
Le niveau en dessus Jojo?
thefakeproutofprogress

.O. - 26 Aug 2024

J'avoue qu'en matant Romulus (assez beau mais oubliable) je me suis dit que l'actrice ferait une super Ellie.

J'ai pris cher man !
sherman

Vu City of Darkness, pas mal de gens dans la salle ça fait plaisir smiley114

Le film est sublime, les acteurs ont un charisme dingue, on aura jamais Kowloon mieux reconstituée.
Ça fait plaisir de voir un bon vieux HK avec des persos un peu clichés, des combats très bien choregraphiés, de l'honneur, de la bromance, de la vengeance

Juste faut que je creuse la fin, le coup des on dirait la fin du Pacte des Loups smiley67
J'ai vu au générique que le film était adapté d'une nouvelle

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

Pour les amateurs d'infographie :

kXmVH5B.png

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl
J'ai pris cher man !
sherman

J'avais raté ça, un remake de The Killer avec Omar Sy, on dirait une blague de Kenjin smiley11

En plus ça doit être dispo sur le web faut que je regarde ça

Edit par sherman (29 Aug 2024)

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