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  • Le comptoir du Bar Tabac PMU Gamerama

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Brosse le caniveau
Beauce_de_Findenivot

Au final, un peu de bonus pour mlp et un peu de malus pour melenchon mais les chiffres sont pas éloignés des niveaux d'approbation habituels dans les enquêtes. Donc chacun fait plus ou moins le plein sur son électorat, au moins le coeur de cible.

Le niveau en dessus Jojo?
thefakeproutofprogress
Média affilié à un État, Russie
makunouchi_ippo
Fan de Miller (Gérard)

Beauce_de_Findenivot - 01 Jul 2023

Les animaux libérés c'est fake, non (vieille vidéo) ?

Après, je n'ai pas compris tout ce qu'il dit.

ancien con embêtant
Ancien-Combattant

Yazu - 01 Jul 2023
Je pense qu'il ironise sur les mecs qui foutent la merde qui sont semblable à des animaux

Le décodeur
Mariole

makunouchi_ippo - 01 Jul 2023

Le gouvernement le déteste

Fan de Miller (Gérard)

Ancien-Combattant - 01 Jul 2023

Ah peut-être, c'est bien son genre smiley4

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

https://www.mohamedlouizi.com/post/de-l … au-califat

Texte objectif et réaliste. Ce n'est que le début.

Le niveau en dessus Jojo?
thefakeproutofprogress

Cheftrottoir - 01 Jul 2023

Chef cette vieille personne qui vit dans une campagne peinard mais qui se fait monter le cerveau par CNews pour finir par voter extrême droite pour lutter contre « l'ensauvagement ».

Sauf que sa campagne c'est le Japon.

J'ai pris cher man !
sherman

-

Les assurances paieront, aucun problème smiley76

Le contrat de confiance
Catcheur
La Triforce de la sudation
TS_JBG

thefakeproutofprogress - 01 Jul 2023
Un sentiment de violences urbaines tout Au plus

Un ami commun

sherman - 01 Jul 2023

Mes dossiers lundi matin feelsbad

Kenjincognito
Silvername

thefakeproutofprogress - 01 Jul 2023

un sentiment d'émeute

no limit smiley129

Chamberlain
Churchill

"Elon Musk, propriétaire du réseau social, annonce que les utilisateurs non vérifiés (non abonnés à Twitter Blue) sont désormais limités à lire 600 tweets par jour, les utilisateurs vérifiés jusqu'à 6 000 tweets par jour."


Je n'utilise pas twitter donc je ne me rend pas du tout compte si 600 par jour ça reste confortable.

Edit par Churchill (01 Jul 2023)

Steve
Sander

thefakeproutofprogress - 01 Jul 2023

fakeprout la bave aux lèvres qui part direct en ad hominem smiley11

Ne vaut pas un clou
Cloud

Churchill - 01 Jul 2023

Je pense que oui, à moins de passer sa journée sur twitter à scroller les commentaires.

Média affilié à un État, Russie
makunouchi_ippo
Cheftrottoir a écrit :

https://www.mohamedlouizi.com/post/de-l … au-califat

Texte objectif et réaliste. Ce n'est que le début.


il y a 10 ans je disais la même chose, j'ai pris pas mal d'années de ban pour ça

J'ai pris cher man !
sherman

Churchill - 01 Jul 2023

Ça dépend si les réponses a un tweet comptent comme des tweets mais 600 ça fait déjà beaucoup d'âneries

SaPRophiLe
VeRSatiL

Churchill - 01 Jul 2023

Dans mon temps c'était 250 smiley76

Le niveau en dessus Jojo?
thefakeproutofprogress

Sander - 01 Jul 2023

Reste tranquille c'est une vanne

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

La liberté selon macron. Il préfère les racailles qui détruisent tout au Français normaux.

je transpire en 60 fps

Cheftrottoir - 02 Jul 2023

C'est quoi l'interet de faire ca ? Les racailles partagent leurs exploits par ailleurs donc ca ne va rien changer au phenomene d'emulation. Ca va juste servir a cacher l'etendu des degats aux francais.

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

BoBi - 02 Jul 2023

C'est le but je pense. Mettre tout ça sous le tapis et compter sur les médias aux ordres pour faire passer ceux qui en parlent pour des complotistes facho.

The tag
The Baygon

BoBi - 02 Jul 2023

On risque une forte montée de l'extrême droite si on continue de diffuser ces images.

Je pense à clubpop sous la douche
superframboisier

Cheftrottoir - 02 Jul 2023

Roussel propose également de couper l'accès aux réseaux sociaux quand ca devient chaud dans le pays.

Le retour du contrôle de l'information par le parti l'Etat comme au bon vieux temps smiley39

Ne vaut pas un clou
Cloud

DjiFlo - 01 Jul 2023

smiley129

Churchill - 01 Jul 2023

Apparemment, twitter ne paie plus google pour le contrat qui les lie. Le transfert de leur infrastructure n'est pas à 100% opérationnel, d'où cette limitation pour économiser en charge serveur. C'est ce que certains pensent en vue de la situation. smiley16

La source de base :
Twitter has reportedly refused to pay its Google Cloud contract

Edit par Cloud (02 Jul 2023)

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

Qui aurait pu croire qu'en 2023 les villes soient encore à la merci d'une horde de pilleurs.

smiley82

Ne vaut pas un clou
Cloud

superframboisier - 02 Jul 2023

De nobles vigilantes qui doivent faire le travail de la police muselée par les politiques. feelsbad

Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku
badtaste
bad10

Cheftrottoir - 01 Jul 2023

tellement vrai malheureusement feelsbad

Nintentraumatisé
Cheftrottoir

bad10 - 02 Jul 2023

Honnêtement j'ai de la peine pour les gens qui ont fuit les islamistes au Maghreb qui se retrouvent a revivre la même chose en France et avec le soutien inconditionnel d'une partie de la classe politique. Ça ne peut pas bien se terminer.

Edit par Cheftrottoir (02 Jul 2023)

Salade de boules, bon appétit !
saladbowl
Le décodeur
Mariole

BoBi - 02 Jul 2023

C'est bien documenté que la médiatisation entraîne un phénomène de reproduction/émulation (typiquement quand un cas de violence sur des chevaux avait été rapporté dans les médias il y a 2 ou 3 ans, ça avait donné plein de cas similaires dans les jours suivants), mais bon à l'échelle de Twitter c'est assez ridicule tout de même

J'ai pris cher man !
sherman

Beauce_de_Findenivot - 03 Jul 2023

Aura t'il une minute de silence a l'assemblée comme le petit ange ?

Je pense à clubpop sous la douche
superframboisier


Pas accès à l'article, mais si le monde en vient à parler de bilan effarant...

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott

superframboisier - 03 Jul 2023

En cinq nuits et autant de journées de violences, les victimes directes d'incendies, de violences, de dégradations ou de vols se comptent en milliers. Un bilan qui aurait dépassé celui des émeutes de 2005, qui avaient pourtant duré trois semaines. En près de deux décennies, le contexte et les modes opératoires ont changé.

Les violences commises en France n'ont désormais plus grand-chose à voir avec la mort du jeune Nahel M., tué par un policier à Nanterre mardi 27 juin. Depuis vendredi 30 juin, les émeutes qui touchent des centaines de communes en France ont changé de nature, avec une intensité inédite, des niveaux de violence extrême, des pillages de commerces, des attaques contre des services publics, contre des fonctionnaires, contre des élus et au final, plusieurs milliers de victimes directes d'incendies, de violences, de dégradations ou de vols.

En cinq nuits et autant de journées de violences, le bilan a dépassé en gravité, de l'avis de plusieurs sources, celui des émeutes de l'automne 2005 qui avaient duré trois semaines. Les chiffres ne donnent qu'un aperçu de ces très longues heures où des groupes d'émeutiers ont pris le contrôle de leurs quartiers – ce qui était déjà arrivé. Mais ont aussi attaqué des services publics ou des commerces dans les centres-villes, provoquant la panique à Marseille, Lyon, Toulouse ou Strasbourg, parfois noyées sous les lacrymogènes, le bruit des explosions et l'odeur des incendies. La nuit, mais aussi en plein jour, malgré un dispositif policier considérable avec plus de 40 000 fonctionnaires mobilisés, dont des unités comme les celle des policiers du RAID ou des gendarmes du GIGN et le recours à des blindés de la gendarmerie.

Dimanche 2 juillet, le ministère de l'intérieur comptabilisait plus de 5 000 véhicules incendiés, 10 000 feux de poubelles, près de 1 000 bâtiments brûlés, dégradés ou pillés, 250 attaques de commissariats ou de gendarmeries, plus de 700 blessés parmi les policiers. Une arme à feu a, en particulier, été utilisée contre les forces de l'ordre dans le quartier de Pissevin à Nîmes où le gilet pare-balles d'un policier a bloqué un projectile de 9 milimètres – cela avait été le cas en 2005 à Grigny (Essonne) et Montfermeil (Seine-Saint-Denis). Fait inédit, des émeutiers s'en sont également pris à des élus, marquant une étape supplémentaire dans la radicalisation, comme à Pontoise (Val-d'Oise), Montluçon (Allier) ou L'Haÿ-les-Roses (Val-de-Marne). Dans cette ville, le maire (Les Républicains), Vincent Jeanbrun, a été directement visé : une voiture a été projetée sur sa maison puis incendiée, obligeant son épouse et ses deux jeunes enfants à fuir. « Un cap a été franchi dans l'horreur et l'ignominie », s'est révolté le maire. « Le véhicule a été lancé pour brûler le pavillon », a estimé le procureur de la République de Créteil. Une enquête pour tentative d'assassinat a été ouverte.

« La loi c'est nous »

Les innombrables scènes décrites par les témoins dans des centaines de lieux différents sont effarantes de violence et de détermination. Des élus de banlieue pourtant habitués à des situations tendues racontent des passages à l'acte extrêmement brutaux. Ils font état, avec leurs mots, d'une tentative de prise de pouvoir d'une génération de très jeunes hommes. A Corbeil-Essonnes (Essonne), le maire (divers gauche), Bruno Piriou, a passé des nuits à suivre les déplacements de groupes à travers les nombreuses caméras de vidéosurveillance. Quelque 300 individus au total sur une population de 52 000 habitants. « J'ai vu des jeunes très organisés, qui se préparent, tous habillés pareil. Il y avait même un groupe de sept individus habillés avec des combinaisons blanches et des grosses lunettes pour utiliser une scie à disque et couper les poteaux où sont installées les caméras. » Sur les murs, des tags racontent la volonté de prendre le pouvoir. « La loi, c'est nous », « à mort les porcs », « un keuf bon, c'est un keuf mort ». « Il y a une partie de la jeunesse qui passe à l'acte pour attaquer ce qui leur paraît être l'ordre établi », constate l'élu.

A Sevran (Seine-Saint-Denis), les émeutiers ont attaqué frontalement le commissariat et la mairie. Du jamais vu dans cette ville pourtant sujette à des tensions importantes depuis des années. « C'est toute la ville qui a été impactée, pas seulement des quartiers. On a pris un gros coup », témoigne le maire (divers gauche), Stéphane Blanchet, effaré par le niveau de détermination des émeutiers. La galerie commerciale de Carrefour a été pillée. Le magasin Action totalement ravagé par un incendie. Des dizaines de véhicules ont brûlé dans cette ville parmi les plus pauvres de France. Dont douze véhicules municipaux sortis un par un du garage pour être incendiés. « Ils veulent casser les reins de notre ville », dit le maire en se disant « terrifié » par la découverte d'un tag affirmant : « Vous nous avez pris une vie, on veut un policier. »

Ces émeutes témoignent d'une forme d'ultra-violence. Y compris dans des villes moyennes. Et bien au-delà des grandes métropoles urbaines. « On a vu que les grands frères de 25 ou 30 ans étaient dépassés par les petits, beaucoup de gamins de 14 ou 15 ans », témoigne Olivier Bianchi, maire (Parti socialiste) de Clermont-Ferrand, où une école et une maison de quartier ont été incendiées. Tout comme une épicerie bio portée par une association pour apporter des aliments de qualité, pas cher, au cœur d'une cité populaire. « Depuis trente ans, nous avons tous constaté sur le terrain que la violence des bandes ne cessait de croître », se désole Manuel Valls, maire d'Evry (Essonne) pendant onze ans avant de devenir ministre de l'intérieur puis premier ministre.

« Détruire et anéantir »

La gravité des violences provoque une très grande colère parmi les habitants, premières victimes des dégradations. « Des criminels ont décidé d'anéantir nos institutions républicaines », a ainsi réagi Valentin Ratieuville, maire (Les Républicains) de Persan (Val-d'Oise) après l'incendie de la mairie. Sur sa page Facebook, l'élu a publié un texte traduisant son émotion et l'ampleur du choc ressenti : « L'objectif de ces malfrats était clair : détruire et anéantir coûte que coûte (…). Les Persanais ne peuvent accepter d'être les victimes de ces malfaiteurs. Qu'ils assument d'être des lâches et qu'ils soient jugés et punis d'avoir trahi et d'avoir martyrisé Persan. »

L'effarement et l'incompréhension. Mathias Wargon, le chef des urgences de l'hôpital Delafontaine, à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), raconte les insultes et les menaces à l'encontre des personnels soignants de la part d'émeutiers – une vingtaine – venus accompagner leurs blessés – une douzaine – dans la nuit de jeudi à vendredi. « Ce qui me frappe c'est le décalage entre les analyses que j'entends sur la politique et la réalité du terrain où je vois de la violence et une forme d'opportunisme quand il s'agit d'aller piller un centre commercial. On sous-estime la connerie d'une partie de ces gens », relate le médecin urgentiste, ancien de l'hôpital Avicenne à Bobigny, très critique sur les tentatives de récupération, dans des directions différentes, de l'extrême droite et de l'extrême gauche.

« Réseaux sociaux ». Sans réduire à une cause unique la flambée de violences des derniers jours, la plupart des acteurs de la sécurité intérieure pointent le rôle joué dans la propagation extrêmement rapide de l'émeute par les plates-formes de communication en ligne, les boucles Telegram et, surtout, Snapchat, une application de messages instantanés très prisée des plus jeunes, qui compte plus de 20 millions d'utilisateurs actifs quotidiens en France. « Ça n'existait pas il y a dix-huit ans et ça a changé la donne, avance Grégory Joron, secrétaire national du syndicat Unité SGP Police FO et ancien CRS engagé au cours des incidents de 2005. Les émeutiers se donnent rendez-vous beaucoup plus facilement, peuvent se coordonner en des points différents d'un territoire, se replier et recommencer plus loin. »

Conscient de l'impact et des conséquences de cette viralité, le gouvernement aconvoqué les représentants des principales plates-formes de réseaux sociaux comme Meta, Twitter, Snapchat ou TikTok, vendredi 30 juin, pour leur demander de « s'engager activement pour retirer instamment les messages qui leur sont signalés et identifier les utilisateurs de réseaux sociaux qui participent à la commission d'infractions ». Sans qu'il soit possible de mesurer concrètement l'impact de cette requête auprès des opérateurs, ni sur le terrain.

Mimétisme concurrentiel

Les réseaux sociaux ne servent pas uniquement à coordonner l'action des émeutiers. Vecteurs d'une propagande d'autant plus efficace que ses effets sont immédiats, ils s'inscrivent aussi dans une logique de mimétisme concurrentiel entre villes, quartiers, cités dont les relations quotidiennes sont déjà empreintes de rivalité. « Quand un groupe se filme, l'image circule et d'autres sont tentés de l'imiter, pour montrer qu'ils sont là aussi, et capables de causer autant de dégâts, sinon plus », analyse Johann Cavallero, délégué national CRS pour le syndicat Alliance, qui a servi dans les rangs de la CRS 15 de Béthune (Pas-de-Calais) en région parisienne au cours des incidents de l'automne 2005. Et les images de pillage, relayées en temps réel, ont non seulement occasionné un « opportunisme de prédation » de la part de riverains, dixit un enquêteur, mais aussi donné des idées : après l'attaque d'un tabac dans le quartier de la Roseraie, à Angers (Maine-et-Loire), la police a interpellé un individu circulant en voiture, venu d'une commune distante de vingt kilomètres pour profiter du saccage.

En près de deux décennies, les émeutiers ont beaucoup appris des modes opératoires des forces de l'ordre. « En 2005, le schéma restait classique : les émeutiers attiraient les pompiers dans un guet-apens avec un feu de poubelle et en profitaient pour s'en prendre aux unités qui protégeaient les secours », analyse un hiérarque policier. Cette fois, la dimension offensive a pris le dessus « et ils ont montré qu'ils étaient capables de décider où et quand frapper ». En témoigne le nombre de commissariats, de brigades de gendarmerie et de bureaux de police municipale pris pour cibles : 58 pour la nuit de mercredi à jeudi, 90 le lendemain et plus d'une centaine entre le 30 juin et le 2 juillet malgré des centaines d'interpellations et le déploiement d'unités spécialisées. Le phénomène n'est pas nouveau, il est même pratiquement quotidien. Mais son ampleur et les dégâts occasionnés sont, eux, sans précédent. Dans le Val-de-Marne, le commissariat de Choisy-le-Roi a été attaqué deux nuits d'affilée et des casseurs ont été repoussés de justesse alors qu'ils s'étaient introduits dans le sas de celui du Kremlin-Bicêtre ; à Limoges, le commissariat du quartier de La Bastide a été ravagé par un incendie.

Utilisation ponctuelle de drones ou de jeunes femmes, moins suspectes à leurs yeux, pour renseigner les émeutiers sur les mouvements des policiers, appels malveillants pour engorger les lignes des services de secours lors de l'attaque du commissariat de Val-de-Reuil (Eure), individus barrant une rue le temps pour leurs complices de dévaliser des commerces, comme à Paris dans la nuit de jeudi à vendredi, « certains groupes sont clairement capables de s'organiser et nous ont fait craindre le pire », estime un commissaire parisien. D'où une démonstration de force sans commune mesure avec 2005.

Pour nombre de policiers, la différence essentielle entre les affrontements de 2005 et ceux qui ont émaillé la semaine passée tient cependant, avant tout, à leur mobile. « A l'époque, ils voulaient se faire du flic comme une expédition punitive après la mort de Zyed et Bouna, assure un policier en poste en région parisienne. Cette fois, celle de Nahel, pour dramatique qu'elle soit, leur a juste fourni un prétexte pour piller. » La preuve, avance Johann Cavallero : « Des gamins encore plus jeunes que Nahel meurent sous les balles de kalachnikov dans des règlements de compte presque chaque semaine. Et pourtant, les banlieues ne bougent pas ».

Kenjincognito
Silvername

heureusement mediapart a fait une bd pour résumer les faits smiley130

Ceiling Clott is watching you masturbate
clott
nous montre son minou
Ebichu

clott - 03 Jul 2023

Les allures de comptine putain smiley11

Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku

Ils sont sérieux ? smiley116

J'ai pris cher man !
sherman

clott - 03 Jul 2023

Si c'était que ça, toute la partie avec le flic je le reconnais c'est le témoignage par WhatsApp du passager, une source de confiance assurément smiley11

Et j'aime bien comme on passe du rugby a "un ami lui prête une voiture", rien de plus normal que se faire prêter une voiture de loc a 80k par des amis, aucune embrouille là dessous smiley76

nous montre son minou
Ebichu

En délicatesse avec le lycée :emoji papillons et fleurs:

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