➔ Cheftrottoir - 12 Aug 2023
Le diagnostic fout la gerbe.
Grâce aux investigations techniques réalisées sur la scène de crime, le mis en cause a été confondu grâce à une trace papillaire laissée sur une porte. L'agresseur y avait posé sa main pendant qu'il s'en prenait à la victime.
Le fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) a permis d'attribuer cette empreinte à un individu. Cette preuve est corroborée par la géolocalisation de son téléphone portable au moment des faits.
L'efficacité de la police scientifique encore une fois.
Maintenant on va voir le travail de la justice.