tl;dr51
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VV51
05 Dec 2022
Merci pour les diverses réponses ! Non, plutôt à trainer avec Sandrine Rousseau Ouais, le problème c'est qu'on ne veut pas la foutre à la rue, mais pas non plus la laisser squatter chez notre mère (ou chez nous) vu qu'elle le ferait ad vitam eternam, ni lui payer un appart tout frais payé à vie, donc je cherche dans quels cas notre bel état peut financer un studio (j'ai sérieusement pensé aux adultes handicapés, mais compliqué de faire passer sa flemme comme une maladie mentale) J'attendais sa réaction ici vu qu'il jette l'opprobre sur n'importe qui qui parle de ce sujet (même sérieusement) ➔ Professeur Laytron - 04 Dec 2022 Elle a vu divers psys depuis ses 16 ans c'est un peu le serpent qui se mord la queue, car ma mère se voilait un peu la face en mode "elle a forcément un souci psychologique, ça peut pas être juste une envie de rien foutre", donc forcément tu perds du temps à chercher un diagnostic imaginaire, et une fois que tu as perdu toutes ces années, une des dernières psy a effectivement creuser avec elle la piste : "ah bah en fait tu veux devenir un garçon, tout s'explique Donc ça donnait une excuse en mode "ça ira mieux après la transition, c'est pour ça qu'il y avait un blocage " Spoiler : depuis le traitement, hormis une prise de poids (puisqu'elle ne suit même pas la musculation recommandée par la psy), rien d'autre ne s'est passé depuis. C'est pas tout à fait un syndrôme Hikikomori mais ça en est pas loin selon moi, mais vu qu'elle arrive quand même à voir ses copines sans problème, je vois que les motivations pour sortir son cul sont à géométrie variable. Ouais, frustrant mais en dehors de la mettre au pied du mur, ça va être impossible de poursuivre cette situation au départ en retraite de ma mère (début 2024), j'ai un peu arrêté de croire qu'elle le fera d'elle-même avant. Merci pour le témoignage, c'est intéressant ! Je pense que pour ma soeur, y'a une partie d'auto-diagnostic qui sont de belles conneries, elle avait parlée d'agoraphobie aussi, sauf que c'est uniquement dans des cas où elle ne veut pas prendre les transports en commun et se faire emmener en voiture, par contre, pas de souci pour aller dans un bar blindé avec ses potes ou au restau. Elle a pas eu de souci non plus pour parler avec les clients quand elle a fait son stage en caisse, donc je penche plutôt pour un peu de mythomanie et d'auto-persuasion sur certains points. C'est "pas si mal" dans un sens, car à partir du moment où il y a aura un déclic, elle ne sera pas non plus dans l'impossibilité de trouver un taf si y'a du contact avec les gens, comparé à ton pote. Oui c'est tout à fait ça (rép de Kenjin), hélas, même en voyant ses copines partir en études ou autre, ça change rien, elle traine qu'avec des meufs qui se manipulent les unes entre les autres, et ma soeur est très niaise / manipulable dans ces cercles-là où elle accorde tout le crédit à ses copines (potes, plan cul, etc), là où elle n'en accorde aucun à sa famille, qui l'a rappelle à la réalité. Tu vises juste ! C'est ça l'énorme souci que j'ai avec cette mentalité, contrairement à ce qu'un sjw dirait, en fait le changement de sexe est très mineur dans l'histoire que je décris ici : le problème, c'est que ça sert de prétexte pour tout et n'importe quoi, afin de chercher une validation permanente de ses pairs (que les milieux woke lui octroie), et l'éloigne justement du monde réel. C'est donc pas de la transphobie, mais justement de souligner que dans certains cas, j'ai davantage l'impression que ça a été encouragé par l'entourage toxique (la dernière psy alors que cela n'avait jamais été un sujet avant + ses copines), que par une conviction profonde depuis la naissance (chose qui est également possible, mais pas dans le cas de ma soeur), et que justement, vu que tu continues à creuser sur des faux problèmes, tu ne fais jamais d'efforts sur les vrais soucis (s'épanouir dans sa vie privée et professionnelle, avoir des responsabilités, être indépendant...). |