En y réfléchissant de façon un peu plus posée.
Ca n'est pas tant la rupture qui me fait mal que le fait qu'elle touche à des irrésolus en moi qui sont très profonds : aucune estime de soi, un besoin de validation externe permanent, du ressentiment pour ma mère qui ne m'aura jamais témoigné la moindre affection ou le moindre compliment en 31ans, la quête d'un partenaire salvateur qui me rendrait la vie plus supportable.
Toutes mes dernières histoires qui n'étaient pas si longues que cela ont toujours eu un retentissement autrement plus élevé en moins qu'elle ne le devraient.
Appelons ça hypersensibilité, ou peu importe ça n'est pas le sujet.
J'ai de gros soucis à régler et le problème c'est que je ne sais pas par où commencer et j'ai surtout une grosse tendance à prendre la psychiatrie pour du charlatanisme