➔ KamiOngaku - 03 Jul 2020
C'est ce qui est écrit pourtant.
Ainsi, ce sont plus les comportements et l'environnement associés à l'usage des écrans
(l'alimentation, la sédentarité, le sommeil, les distractions) en fonction de l'âge et du type
d'écrans, qui sont les éléments identifiés comme causes potentielles des effets délétères associés
aux écrans, plus que l'exposition aux écrans.
C'est comme l'idée selon laquelle les gens qui mangent bio sont en meilleurs santés (ce qui est vrai, mais pas parce qu'ils mangent bio).