D'autant plus dans un jeu qui lorgne autant vers le penchant cinématographique du jeu vidéo.

Après, j'entends tout à fait les critiques sur la qualité d'écriture, la présence de cliché, poncifs et autres éléments éculés mais les critiques émises par Gautoz (ou Pipomantis) sur juste le contenu et non la façon, c'est naze. Puyo est plus nuancé dans son test et attaque sur une critique de l'écriture mais se perd un peu plus dans l'émission.

Enfin, ils critiquent quand même le fait que Kratos appelle son gamin "boy" et non par son prénom Perso, ce qui me fait le plus peur dans le jeu, ce n'est pas la dureté bourrine de Kratos (qui marque au moins un pas de côté avec TLOU) mais plutôt les moments d'émotions émaillés que je sens aussi lourdingue qu'on peut l'attendes des développeurs de GOW.