La folie des femmes

Ce vendredi après plusieurs mois de silence radio totale voilà que l'autre cas psychiatrique m'appelle en me disant qu'elle est mal et qu'elle a besoin de me voir et me demande de rappliquer sans poser de questions tout en apportant au passage une bouteille d'alcool.

N'ayant pas tâter de très près l'anatomie féminine depuis plusieurs semaines depuis ma dernière rupture mon mini-moi n'y réfléchi pas à deux secondes avant d'accepter la proposition

D'autant qu'elle avait un corps de folie et baisait comme une pornstar

Arrivé sur place elle m'explique déjà bien bourré le pourquoi du comment de l'histoire : Finalement son boulot ne la garde pas en CDI alors qu'il lui avaient promis un poste après son stage quelques semaines auparavant

C'est malheureux certes, je compatis (un peu) mais au final j'ai surtout envie de l'enfiler :tuvoisjveuxdiremoray:

Je commence à m'activer pour les choses sérieuses après une heure de blabla inintéressant :caresses et baisers bien placés avant qu'elle ne me repousse gentiment quand je tâte sa cavité de façon digitale.

Après 45 minutes d'âpres négociations la voilà qui finit enfin par céder pour son plus grand plaisir (avec orgasme à la clé).Je m'endors l'esprit apaisé et les burnes vidées avant de rentrer chez moi le lendemain,l'affaire étant réglée.

Dimanche la voilà qui me recontacte avec un message gros comme un pavé où elle me reproche d'avoir abusé d'elle et d'avoir osé profiter de sa faiblesse pour la "baiser" comme un mouchoir (pour rappel elle a donné son cul pour un appart et requalifie ça derrière en viol) et qu'elle s'est sentie utilisée voir violée

Bon j'ai gardé tous les messages qu'on s'est envoyé entre temps mais quel culot tout de même surtout qu'il ne m'a pas semblé que ça lui ait déplu 

Avant de se remettre à m'appeler lundi et insister pour que l'on se voit dehors pour dîner :nothanksjeff:

Quels sont les moyens légaux que j'ai de me protéger de cette folle à lier ?

Je vous rassure j'y toucherai plus jamais : Les accusations de viols etc non merci.