➔ Lotusa - 16 Sep 2012

Bah il a raison...  Chez les lesbiennes par exemple, il y a ce qu'on appelle les "vanilles". Des nanas "en couple" dont l'essentiel de la sexualité se résume surtout à se tenir la main en regardant des couchers de soleils. J'exagère mais c'est pas loin. Il y a même tout un courant lesbien-féministe qui réfute la pénétration parce que c'est phallique. Une sexualité pour le moins limitée.

On peut aussi parler des asexuels, des gens qui ont pris pour choix de ne pas ou peu faire de sexe ce qui ne les empêche pas d'aimer des personnes hommes ou femmes suivant leur inclinaisons.

Tout cela tend à prouver que la notion d' "orientation sexuelle" est très réducteur. On devrait parler "d'orientation sentimentale".

Soda:

Le problème c'est que les gay pride d'aujourd'hui sont un espèce de bordel commercial et politique (il y a le PS, NPA, des syndicats... toute la cliques des gauchos), hurlant de la musique NRJ12 complétement coupé de la dimension militante des débuts. La première gay pride était un mouvement spontané de gay qui avaient été passé à tabac dans une boîte à San Fransisco par des flics et qui réclamaient simplement le droit à avoir des bars à eux où on leur foute la paix.

Edit par CluBpop (16 Sep 2012)