Max Payne 3, suffisait juste de refaire la même chose qu'avant avec la techno actuelle pour que ça tue.

Là c'est du Rockstar qui reprend entièrement le style visuel de Tony Scott jusqu'aux répliques qui apparaissent à l'écran, à savoir que là où Remedy avait inventé un pur héros de jeu vidéo avec son style bien à lui, Rockstar fait à nouveau du sous-cinéma en étirant un film de 2 heures sur je sais pas combien de lignes de dialogues répétitifs et de cinématiques chiantes en plus d'interrompre la partie toutes les cinq minutes. Le level-design pue du fion la moitié du temps donc soit on est en couverture (tellement logique) soit on se prend des murs dans la gueule en sautant (logique...). Le Painkiller est distribué aléatoirement, y'a des armes avec lesquelles on arrive pas à viser à cause du laser, même pour sniper le jeu suit automatiquement les cibles.

Cette daube...