1994 : la fin du jeu vidéo.
Tchiko

Cheftrottoir - 30 Nov 2011
C'est pas parce que certains joueur sont attachés à leur premier run et veulent en conserver son caractère unique (parce que c'est justement une particularité du titre qu'ils ont apprécié smiley45) qu'il n'y a aucun replay value. Il y a beaucoup d'embranchements, de fins, de détails qui changent, de trucs à expérimenter. Par exemple il y a un trophée pour effacer toutes les traces du tueur...
Par contre c'est pas avec un autre jeu qu'il y aura ce genre de réaction affective de la part des joueurs smiley29


Jacky :

Mais dans Heavy Rain, si tu échoues jamais, c'est un peu pareil, aucune tension vu que quoi que tu fasses, le "jeu" continue donc tu peux te mettre en pilotage automatique.

Et niveau jeu scénarisé au gameplay pourrave voire inexistant, L.A. Noire est quand même vachement mieux écrit

HR j'y ai pratiquement pas joué

Intéressant.

Moralité de la page précédente : les "anti-Heavy Rain" ont en commun une débilité bien remontée smiley50 plein de revendications fracassantes du genre "on veut du gameplay" smiley8 ou "on me là fait pas à moi héhé" smiley61 et n'ont souvent pas fait le jeu.

En fin de compte c'est toujours pareil, des défauts on peut toujours en trouver pour un jeu (et ouais il y en a un paquet dans HR, no shit), et même en inventer à l'infini en prenant tel ou tel référant, passionnant.
Mais ce qui compte, pour ma part, au de-là de ces revendications dignes d'une cours de récré et qui semble dépasser l'esprit étroit de certains, c'est les qualités d'un titre. Qu'elles soient propres à un genre ou qu'elles dépassent le cadre du média.
Après on est plus ou moins réceptif/client à ces qualités.

Sinon Rayman Origins?