➔ KamiOngaku - 10 Oct 2011
Tu m'en diras tant
En fait, à mon (très) humble avis, DSK avait en tête le cas d'école argentin, et lorsqu'on lui a demandé d'agir en Grèce en tant que président du FMI, il s'est employé à asphyxier l'économie du pays afin de rembourser au maximum les créanciers, jusqu'au point de rupture (i.e. la Grèce annonce qu'elle refusera/pourra plus payer ses dettes), puis de dire qu'il est vraiment tant de s'arrêter dans l'austérité parce que cette voie là mène vers un gouffre pour le pays, voire même l'UE. Tu peux trouver ça débile mais je ne m'explique pas autrement son virage soudain donc je vais rester cette idée.