Ramza le rabza
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Delita
08 Apr 2011
Rêvé que j'étais avec ma promo au complet (1ere et 2e année) dans un vaisseau spatial type Enterprise, avec tout le monde réparti sur 3 étages. Tout le monde était habillé avec une combi blanche immonde, et avait un mini-écran greffé sur la main droite. L'écran permettait d'accéder directement dans l'esprit des gens, et de non seulement voir ce qu'ils voyaient, mais aussi savoir ce qu'ils pensaient. C'était aussi possible d'implanter des idées dans leur esprit :inception: ou faire de la suggestion très forte pour les pousser à faire des trucs. La seule condition pour effectuer ce genre de manip, c'était de répondre à une question concernant la personne, type "question secrète" pour les boîtes mail. Je tente de me connecter sur un pote, sa question "Est-ce que je suis gay ?", mais formulé plus violemment Pour déconner, je réponds "oui"... ACCESS GRANTED
Passons. Je tente en suggestion, et justement, pour vérifier la question, je l'envoie rouler une pelle au rugbyman de la promo, bien carré comme il faut. Il s'exécute, et commence à se faire tabasser violemment. Je me marre comme un bossu. Comme je trouve ça marrant, je décide de refaire l'expérience sur un autre pote. Question secrète : "écris le nom de ma copine" (elle a un nom italien à la con). Pas d'erreur, nickel. Histoire d'être plus violent, je lui suggère de se tirer cash une balle dans la bouche. Il essaie de résister au contrôle mental, rate son tir et se tire dans le nez. Pas mal non plus. Comme les gens voyaient que je faisais le gros enculé, tout le monde a essayé de se venger sur moi, et deux potes ont réussi à accéder à mon esprit via des questions de merde : "quelle est ma team à Marvel vs Capcom 3" et "quel surnom me donnait ma mère quand j'étais gamin" (WTF, comment il a pu savoir ça). Avec la masse de suggestions qui arrivaient, ma tête a fini par exploser, et je me suis réveillé.
Ah et si qqun tentait d'arracher son écran ou répondait mal 3 fois à une question sur une personne, il se désintégrait façon particules, à la No More Heroes. Conclusion :
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