SaPRophiLe
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VeRSatiL
15 Dec 2010
Non c'est un peu plus profond que ça. Je dois préciser et détailler le relâchement des peptides opioïdes endogènes (enképhalines, endorphines, dynorphines...) dans ce genre de contexte. D'après les résultats on pourra orienter des thérapies et mieux comprendre certaines mécaniques impliquées dans la douleur chronique, notamment pourquoi les dépressifs ont un système inhibiteur descendant perturbé (quand ton corps supprime la douleur par lui-même) etc. Ce qui serait intéressant pour les thérapies orientées sur le long terme pour la douleur chronique serait une façon de stimuler les zones motivo-affectives du cerveau par ce genre de rapprochement pour en résulter d'une adaptation de la neuroplasticité plus résistante à la sensation de douleur. EDIT: putain de viens de relire mon texte, désolé si c'est incompréhensible Edit par VeRSatiL (15 Dec 2010) |