➔ Pseudo_supprime - 05 Oct 2009
Je l'ai moi aussi ressentie mais elle ne s'est faite que par l'Ost:

(parfois, je revenais à Palm Brinks sans vouloir recruter quelqu'un; juste pour me balader dans la ville).

Voilà cinq ans que je l'ai fait et je serais incapable de te dire les moments marquants du jeu à part les cliffs de fin. Mais ça, c'est clairement parce que les développeurs ont tout misé sur le côté ludique(customisation des armes, combats...)plus que sur l'ambiance globale. Je veux dire, dans un chapitre, tu as pas plus de quatre environnements: la gare, la ville, le donjon et l'endroit où tu affrontes le Boss. ça réduit forcément la personnalité que peut avoir le soft: à part Palm Brinks, rien ne m'avait vraiment marqué.

D'ailleurs, quand tu écoutes l'Ost, tu te rends compte que les morceaux font pas plus de 2:30: les développeurs n'avaient pas l'air de vouloir donner un cachet au titre si ce n'est par ses combats qui étaient toujours mis en avant dans les trailers. Ils auraient très bien pu développer la partie sur Maximilien et son background en tant que mécano, qu'on ressente mieux son besoin d'aventure: ils ont préféré l'éclipser et s'en servir comme prologue.

De toutes façons, c'est pas vraiment le but d'un D-RPG de proposer des thèmes éthiques ou que sais je encore. Ce que veulent les joueurs du genre, c'est du grinding à outrance. Rien à voir le public du RPG tradi.