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L'IA de la nuit dernière
Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku

Tim qui tombe dans tous les pièges du marketing us smiley11

Les mêmes qui comparaient, à sa mort, Steve jobs et Einstein.

Blow J.
hobbs

smiley16

Steve
Sander

La Huitième Fille smiley69 Premier Pratchett que je me force à finir.

I'm your handsome white Jesus motherfucker!
Axelvak

Sander - 30 Oct 2016

En même temps c'est le troisième tome du Disque Monde.

L'IA de la nuit dernière
Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku

.O. - 30 Oct 2016

Mais du coup, tu ne fais toujours pas la différence entre pub et marketing ?

Demagogol

Je suis en train de lire le livre de Colin Powell :
J'ai eu de la chance
Mes conseils pour réussir dans la vie et dans l'exercice du leadership
http://www.odilejacob.fr/catalogue/docu … 128911.php

Depuis longtemps je détestais cet homme à cause de son discours à l'ONU où il présentait une fiole d'anthrax justifiant l'intervention américaine en Irak. C'était une tache dans sa carrière, il s'en explique sur un court chapitre. Son parcours force l'admiration.
pepe_feelsgood

Edit par Dem (25 Nov 2016)

BetheZbah

watershipdown.jpg
smiley55 smiley75

Une histoire de lapins en mode épique. Ecrit à hauteur des petites bêtes avec énomément de talent et de poésie, on est happés dans des aventures en mode survivaliste - un peu un walking dead à la sauce lapin, quoi. Et il y a toute la mythologie des lapins, et le language inventé et créé... non mais c'est vraiment simple et magnifique (les histoires de la legende Shraavilshâ valent le detour ! )

Génial ce bouquin. Je recommande vivement, et je suis sûr que ça plaira aux ordures de gamerama.

(Note : Ce n'est pas une nouveauté, c'est un classique de langue anglaise des année 70, bizarrement peu connu en France(alors que c'est un des bouquins les plus vendus au monde), et qui vient d'être réédité, et l'edition est superbe.)

Edit par zbah (17 Dec 2016)

triquiqette
Triquy

Anna Karénine fandalpinee.gif
Dire que j'ai fait trainer la lecture plusieurs mois pour m'en farcir les 500 dernières pages en quelques jours fandalpinee.gif

La perfection narrative avec les histoires d'Anna et de Lévine côte à côte, chacune étant le miroir de l'autre  fandalpinee.gif, la chute d'une femme perdue et la douce ascension spirituelle d'un homme  fandalpinee.gif

Les détails annonçant les évènements futurs avec la précision d'un horloger, ou de Eichiro Oda  fandalpinee.gif

Cette simplicité belle et sans fioritures dans le style  fandalpinee.gif pouvant parfois faire preuve de fulgurances ahurissantes comme le monologue intérieur final d'Anna qui annonce le 20e siècle de Joyce et Faulkner  fandalpinee.gif

Blow J.
hobbs

Dem - 25 Nov 2016

Assassin en chef feelsbad
Encore un noir qui a mal tourné smiley108

Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku

Triquy - 24 Jan 2017

Oui. La Russie d'alors (dont l'élite abusait du français, sans doute pas un hasard), c'était quand même autre chose que Poutine.

Sinon, j'ai récemment lu L'usage du monde, de Nicolas Bouvier. Apparemment un classique du livre de voyage, mais je n'en avais jamais entendu parler (il faut dire que le genre ne m'intéresse pas plus que ça). Deux jeunes suisses qui, au début des années 50, décident de rallier l'Inde armés de leur petite Fiat. Et ça tue.

L'avantage, c'est que ce n'est pas un journal de bord, mais un récit écrit des années plus tard. Donc on évite le blabla un peu chiant des carnets de voyage, au profit d'une sélection bien réfléchie de ce qui doit être raconté. C'est écrit sans en faire trop, mais avec une érudition qui fait plaisir à lire, un poil d'humour, et ce qu'il faut de misogynie et d'homophobie made in 50's. pepe_feelsgood

Ils traversent des pays qui ne m'attiraient pas plus que ça (Balkans, Turquie, Iran, Afghanistan) avant lecture, mais que t'as envie de visiter une fois le bouquin posé.

Et surtout, c'est l'occasion de se rendre compte que le voyage à l'époque, c'était vraiment l'aventure. Les mecs manquent en 18 mois de mourir de faim, de froid, de chaud, vidés de leurs entrailles par des maladies, détroussés par des bandits, dans un fossé suite à un accident de camion. Ils passent des nuits à réparer leur caisse qui se traîne à 15 à l'heure sur des pistes non carrossables. Galèrent pour trouver des petits jobs pour gagner à peine de quoi manger.

Quand je vois aujourd'hui les connards qui se prennent pour Marco Polo dès qu'ils ont visité un truc pas noté dans leur lonely planet… sadaffleck

triquiqette
Triquy

510mZhYod5L._SX195_.jpg

Sympa. Première partie largement en dessous de la deuxième moitié, j'étais assez inquiet : des répétitions à ne plus savoir qu'en faire, un style un peu lourd partant souvent dans l'emphase, des descriptions assez pauvres que ce soit ce qui est externe aux personnages ou leur cheminement intellectuel.
C'est largement rehaussé par la suite, avec surtout une intrigue qui devient beaucoup plus plaisante à suivre et une fin très réussie. Le style reste assez plat que ce soit en anglais ou franças mais le thème de l'individualisme nietzschéen et de sa condamnation est intéressant. Reste une description assez caricaturale de la bourgeoisie mais en accord avec les convictions du personnage.

CVT_Feu-pale_4043.gif
Du très très lourd. On abandonne la "littérature d'idées" pour un autre labyrinthe de Nabokov. Le livre est construit comme un faux poème d'un poète américain fictif, précédé d'une introduction d'un autre homme et suivi de son commentaire détaillé. Le commentaire n'a rien à voir avec des notes d'universitaire et contient en réalité le vrai roman. Journal d'un homme, roi en exil d'un royaume imaginaire, qui raconte son histoire et en quoi le poème de son ami est un hommage à son pays et sa vie.
Style magnifique, images riches et subtiles, érudition... Nabokov le génie à l'oeuvre. Infiniment supérieur à Lolita.
Le poème perd par contre tout intérêt après traduction mais Nabokov c'est un peu comme du Melville, d'une telle complexité lexicale que je m'y risque pas pour l'instant autrement qu'en français.

Invité(e)
profil_supprime

Tiens, le concept de Feu Pâle eveille ma curiosité.

D'ailleurs, tu parles de Melville, je suis en train de finir Moby Dick là smiley46

Je ne sais pas avec quoi je vais enchaîner encore.

triquiqette
Triquy
BetheZbah

Triquy - 15 Feb 2017

martin eden,

:sympa:

thisisfine

Martin eden est le meilleur livre jamais. ça me sert de jalon pour évaluer mes contemporains : je sépare l'humanité entre ceux qui l'apprécie à sa juste valeur et les autres, tu tombes, hélas, du mauvais côté feelsbad

Invité(e)
Profil Supprimé
Triquy a écrit :

le thème de l'individualisme nietzschéen et de sa condamnation est intéressant.

Peux tu détailler stp? si c'est possible sans spoiler bien sûr...
Sinon tu m'as vendu feu pâle, bientôt sur ma pile smiley130


ps :

Triquy a écrit :

Anna Karénine http://forum-images.hardware.fr/images/ … lpinee.gif
Dire que j'ai fait trainer la lecture plusieurs mois pour m'en farcir les 500 dernières pages en quelques jours http://forum-images.hardware.fr/images/ … lpinee.gif

oui smiley35 La même.

edit : merci.

Edit par Seif (16 Feb 2017)

triquiqette
Triquy

Profil Supprimé - 15 Feb 2017

London reprend pour son personnage l'idée de la volonté de puissance, il s'élève à partir de rien et finit par être isolé de tout. Il oppose sa philosophie au socialisme (dont il était lui même adepte) et Martin finit par mépriser les classes sociales inférieures en oubliant l'état dans lequel il était lui même lorsqu'il était brisé par le travail manuel. Il est aussi totalement athée et considère la théorie de l'évolution comme suprême, et applicable aux humains où les faibles sont et doivent être mis à l'écart pour finalement disparaître, et littéralement "la compassion et la pitié comme des produits de la morale de l'esclave".

Zbah comme je l'ai dit c'est intéressant au niveau des idées mais le style ne m'a pas du tout emballé.
Pour des thèmes relativement similaires tu peux lire un autre roman, de master race à mon avis, les deux étendards. C'est un peu plus long par contre et cher dans sa seule édition, merci gallimard.

Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku

Le Lys dans la vallée

Assez étonnante lecture. Un petit intello malingre du début du XIXe, délaissé par ses parents, puceau jusqu'à 25 ans, qui tombe fou amoureux au premier regard d'une espèce de casse-burnes, étouffée dans sa fidélité chrétienne à un mari vieux et tyrannique. Aidé par la bêtise du Comte, il se fait malgré tout accepter dans la famille, pour y passer le plus clair de son temps à s'occuper des gosses, friendzoné dans les grandes largeurs.

Balzac a, il faut être clair, une écriture d'une lourdeur pénible (ses dialogues, mon dieu). A la fin des 6 pages de description de la Comtesse (le Lys en question), à force d'images, je n'arrivais même pas à être certain qu'elle était vraiment belle. A côté de ça, il te décrit la Touraine de telle sorte que tu as envie d'y déménager dans l'heure. Mais l'ensemble reste indigeste et assez chiant jusqu'aux…

Trente dernières pages, avec la mort de la Comtesse. Quand elle exprime tous ses remords à avoir, pour les convenances et la crainte de Dieu, repoussé Felix, mourant à 35 ans en étant passée à côté de l'aventure, des joies du sexe, d'une vie libérée des pesanteurs de la religion. La vision du bouquin dans son ensemble est totalement modifiée. C'est assez magistral.

Pour la petite histoire, j'avais eu envie de lire le bouquin en entendant à la radio ce passage :

Si pour loyer de ma confession, je trouvais ton amour amoindri, je ne survivrais pas plus à la perte de mon dernier bonheur que les jeunes gens ne survivent à la ruine de leurs premières espérances. Mais fou que je suis ! L'amour est-il soucieux d'un crime? Je voudrais que ma confidence redoublât tes tendresses. Pourquoi suis-je aujourd'hui à la merci d'un peut-être ? Les gens de trente ans sont lâches, ils ne font pas de conditions, ils en reçoivent. Ah ! L'on ne connaît l'amour qu'en traversant les profondeurs du dernier amour ; nos vraies passions naissent à quarante ans, âge auquel nous savons mesurer l'étendue de nos pertes, tandis que, jeunes, nous ignorons les bénéfices de la vie. Pardonne-moi, chère, ces paroles, derniers grondements d'un orage qui se tait. A ce soir.

« Les gens de trente ans sont lâches, ils ne font pas de conditions, ils en reçoivent »
C'est quand même assez prodigieux, d'une compréhension de la vie totale. Bah visiblement il existe plusieurs versions du livre, car dans la mienne, ce passage-là est coupé smiley4

triquiqette
Triquy

KamiOngaku - 16 Feb 2017

Il faudrait que je lise enfin illusions perdues qui traine depuis deux ans chez moi avant d'en attaquer un autre feelsbad

la serpillère de RuLL_34
CluBpop

9791032900598_h430.jpg

Je l'avais pris avant tout pour m'assurer qu'au delà des punchlines et des coups d'éclats oratoires, je n'allais pas voter pour quelqu'un trop éloigné de ce que je pense de la vie en société. Et c'est un autre livre que je découvre. Tout le long de cet entretien, il prend vraiment le temps de décomposer les concepts, de les articuler (on sent l'ancien prof de philo, le goût pour le questionnement)... Bien entendu, ses démonstrations soutiennent son projet politique mais elles permettent aussi (quel que soit son orientation politique) de se s'interroger en temps que lecteur, de revenir au fondamentaux. Qu'est ce que la corruption ? Qu'est ce que la liberté ? Une démocratie ? La laïcité ?
C'est pas du tout dogmatique, c'est bien écrit et ça se dévore sans effort.

BetheZbah

Après avoir vu, l'excellent "The lost city of Z",j'ai voulu en savoir plus sur cette histoire de Fawcett et da sa cité perdue, dont j'avais vaguement entendu parlé. Je me suis plongé dans le bouquin qui l'a inspiré, oeuvre d'un journaliste, à l'écriture hachée, sans style :

La-cite-perdue-de-Z.jpg

Et bon sang smiley80

Cette histoire tout bonnement incroyable, smiley115 , on se retrouve immergé dans le monde des explorateurs du début XXeme, fin XIXeme : cette époque thenry , ces hommes smiley114 , inconcevable aujourd'hui. L'histoire de Fawcett, déjà bien retranscrite dans le film, est ici fascinante, et le mot est faible : cette aventure humaine possède un pouvoir d'attraction qui vire à l'obsession, et tu comprends pourquoi des centaines de personnes sont parties et ont crevé pour poursuivre ce mystère. C'est tout bonnement passionnant de bout en bout. En tout cas moi, ça m'a donné envie de lire pas mal de bouquins sur le sujet, à commencer par les journaux de son expédition (sortis dans les années 50), et pas mal d'oeuvres de pionniers de la découverte Amazonienne(Par exemple Amazonie, ventre de l'Amérique de Carbajal*), en plus de m'avoir re-donné envie de voir un peu tout ce qui s'est fait en terme de cinema, en commençant par Aguire, la colère de dieu...Je me suis même retrouvé à mater comme un con la région sur google earth...

C'est un cocktail détonnant d'aventure, de dépassement de soi, de religiosité, de spiritualité, d'occultisme, d'histoire, d'ethnologie, d'archéologie, de mythes...

Le bouquin est très bien construit, c'est une porte d'entrée dans cette aventure qui te happe : le gars cite un nombre d'ouvrage long comme le bras, c'est vraiment super documenté, bref... putain, mais achetez ce bouquin, quoi ! smiley84


* https://www.amazon.fr/Amazonie-ventre-l … 2841370089

Edit par zbah (17 Apr 2017)

Invité(e)
profil_supprime

Quelqu'un a un bon site de critiques littéraires sur l'actualité ? Ou podcast/émission peu importe.

Édit : quand je dis actualité c'est l'actualité littéraire, sur les livres contemporains. Pas des critiques sur Melville, Maupassant ou Céline.

Edit par Lucien Brémart (03 May 2017)

Blow J.
hobbs

profil_supprime - 03 May 2017

C'est dommage, ils tabassent probablement beaucoup de modernes pepe_feelsgood

et omega du mauvais goût

Chui présentement sur le nouveau thierry meysan c du lourd

étron
turon

Petite question aux gros lecteurs de GR. Je voulais lire l'illiade en texte intégral, et comme à chaque bouquin, je commence par la préface, qui me gave au bout de 3 paragraphes, du coup je saute direct au 1er chapitre. Sauf que cette fois ci, pour la 1ère fois, je la lis entièrement. J'ai été très surpris d'avoir un résumé bref mais complet du livre (j'avais déjà lu la version texte abrégé du collège donc c'est pas un drame).
Du coup ma question :

C'est commun dans une préface de donner des détails d'un livre que l'on va lire? Je trouve ça complètement con.

Papa rapide (10 minutes douche comprise)
Drich

turon - 18 May 2017

Ca te donne souvent des clés de lecture, comprendre une resituation de l'oeuvre dans un contexte.

Exemple, dernièrement j'ai lu du Modiano. J'ai trouvé ça "ok". Puis j'ai lu des commentaires qui me renvoyaient vers d'autres de ses oeuvres et là je commence à comprendre que le truc que je trouvais ok est en fait une pierre d'un édifice plus massif que je n'appréhendais pas du tout.

étron
turon

Drich - 18 May 2017

Dans l'exemple que j'ai cité (L'Illiade), tu as ces clés de lecture et je n'ai pas de problème avec ça. C'est vraiment le résumé qui m'a choqué. Il était complet. Genre on te demande de raconter le livre à quelqu'un, tu lui lis les 2 pages, Il n'y a plus aucun suspens sur l'histoire. J'ai trouvé ça très étonnant.

Après, on est tous sensé avoir étudié ce bouquin, donc savoir de quoi il s'agit, mais ma crainte, c'est de lire une préface d'un autre bouquin que je découvre et de tomber sur des faits qui composent l'histoire.

Blow J.
hobbs

turon - 18 May 2017

Ouais ça arrive dans mes souvenirs. L'Iliade, et pratiquement tout ce qui est en vers en latin/grec est bourrée d'allusions, de références etc, il faut aussi lire toutes les petites notes smiley102

triquiqette
Triquy

turon - 18 May 2017

C'est très fréquent. Mais la master race sait que connaître l'histoire avant de lire un livre ou de regarder un film ne gâche le plaisir qu'aux handicapés artistiques lecteurs de polars pour lesquels l'essence se trouve dans le twist bien placé. Savoir qu'Hector tue Patrocle ou qu'Achille finit par mourir est une chose. Le lire en est une autre.

Invité(e)
profil_supprime

Il y a autant de préface que de bouquins. Certains te remettent le contexte quand le livre date et que la préface est récente, d'autres te donnent des éléments biographiques sur l'auteur, d'autres te livrent une analyse de style/importance du bouquin etc. etc.

triquiqette
Triquy

J'ajouterais que le probleme vient surtout des inepties qu'on lit parfois. On se souviendra de la préface de Freud pour les frères karamazov, modèle du genre, que gallimard n'a toujours pas supprimé. Ou de certains allumés à propos de Poe ou Kafka qui ramènent tout à leurs obsessions psychanalytiques.

ancien con embêtant
Ancien-Combattant

Triquy - 18 May 2017
La préface de Freud pour les Frères Karamozov = worst préface ever

Edit par Ancien-Combattant (18 May 2017)

Invité(e)
Profil Supprimé

turon - 18 May 2017

Ça arrive souvent, surtout avec les classiques, c'est une des raisons pour laquelle je ne lis jamais les préfaces (sauf si elles sont de l'auteur lui-même, là généralement ça vaut vraiment le coup), ou alors je les lis après avoir lu le corps du bouquin.
Même si y a pas de spoiler ça conditionne d'avance ta lecture, ce que je trouve assez dommage, à mon avis vaut mieux l'ignorer en première lecture quitte à revenir si tu veux en savoir plus sur le livre.

étron
turon

Merci pour vos réponses

Triquy - 18 May 2017
Bon bah je dois être un handicapé artistique. feelsbad
Même si je suis d'accord que les twists ne font pas l'essence du bouquin, je pense que c'est un plus de découvrir une histoire et que ça fait complètement partie du livre.
Mais là ce qui m'a choqué, c'est qu'en plus de tout raconter, il y avait même les états d'esprit des personnages, aux moments clés, au points que les descriptions correspondaient parfaitement avec le sentiment que j'en avais eu lors de ma précédente lecture. Ou alors c'est la description qui m'a remémorée les sensations....

Je comprends ce que tu veux dire, mais je suis mitigé sur ton avis. Il y a des livres pour lesquels j'en aurais rien eu à foutre de connaître l'histoire (ex : Le Rouge et Le Noir). Par contre le Compte de Monte-Cristo, ça m'aurait pas mal casser les couilles. (Pas le même niveau de bouquins tu me diras).

Demagogol

Enfin fini La Grève d'Ayn Rand (Atlas Shrugged), je l'avais commencé il y a presque quatre ans, environ 1300 pages. Beaucoup de passages intéressants et en rapport avec ce qu'on peut voir dans la politique actuellement (les lois socialistes qui découragent les entrepreneurs, le capitalisme de connivence qu'on ne peut que constater en France, l'histoire de la Twentieth Century Motor Company comme une métaphore du communisme et qui prend cher dans ce passage), d'autres trop longs (un certain discours), j'ai dévoré la fin.

La version papier n'est pas agréable à lire a moins de lire assis devant un bureau, les pages sont grandes et fines comme du papier à cigarette, la couverture est souple et les marges sont étroites. Il y a une version epub et sur Kindle aussi, c'est bien plus pratique pour ma part.

Je pense à clubpop sous la douche
superframboisier

turon - 18 May 2017

Outre le spoil éventuel, les préfaces ont parfois l'inconvénient de te servir une analyse prémâchée du texte, ce qui oriente forcément la tienne et la réflexion que tu peux avoir pendant la lecture.
Perso je zappe presque systématiquement les préfaces, et les lis après avoir terminé le bouquin si celui-ci m'a plu.

étron
turon

superframboisier - 19 May 2017

Je vais faire ça. Ou les lire dès le début lorsqu'elles sont écrites par l'auteur comme le suggère Seif.

étron
turon

Bon j'ai commencé le livre. Comment ça bute. smiley55

J'avais jamais lu le texte intégral, simplement le texte abrégé pour collégien, et j'avais trouvé ça assez nul. Je sais pas si la traduction de de Lisle c'est la meilleur mais je trouve ça excellent.

Bon par contre, j'ai un gros souci de mémorisation des noms (de manière générale), et le parti pris de conserver les noms grecs va me mettre un peu en galère. Mais j'ai bien halluciné devant la différence d'écriture entre les textes. Je pensais très naïvement, que les textes des romans abrégés, on enlevait simplement des parties du texte mais que l'on conservait le style. C'est vraiment dommage de faire étudier ce genre de bouquins. Pour le coup, là c'est vraiment épique.

Edit par turon (19 May 2017)

Je pense à clubpop sous la douche
superframboisier

turon - 19 May 2017

Pareil j'ai absolument pas la mémoire des noms dans la vie. J'ai tellement galéré au début du bouquin, je savais jamais à quel camp appartenait tel ou tel perso smiley11

triquiqette
Triquy

turon - 19 May 2017

pepe_feelsgood
Les romains qui vont tenter de faire leur iliade 8 siècles plus tard, Athènes qui restera intestable pepe_feelsgood

Pour ton problème, si tu veux mieux visualiser tu as la méthode sherman : le film Troie est recommandé pour mettre un visage sur un nom et bien situer les deux parties en présence.

Blow J.
hobbs

turon - 19 May 2017

Oui smiley18
Lis du Aristophane après pepe_feelsgood

tl;dr51

Sur un autre niveau, j'ai eu ce problème pour Millenium 2 avec les inspecteurs les journalistes les complotistes et tout le bordel, réflexe con : prononcer phonétiquement le nom de chaque perso dans sa tête des que tu le lis, ca aide a la mémorisation

Tingle tingle kooloo limpah
KamiOngaku
triquiqette
Triquy

Les porcs de Nabe pepe_feelsgood

Petite pensée à mon khey alfa qui savoure son meyssan au trou pepe_feelsgood

J'ai pris cher man !
sherman

zbah - 14 Apr 2017

Suite à ton commentaire je viens de me prendre le livre, j'en suis à la moitié mais thenry

Ces hommes, inconcevable ce qu'ils ont enduré, tous les passages sur les expeditions sont dingues.

Merci smiley130

DJ Flood
DjiFlo

Souvenir de la Corse :

9782221087909.jpg
smiley79

Je pense à clubpop sous la douche
superframboisier

Je dois passer une dizaine de jours dans la capitale.

Les parigots vous avez une librairie de prédilection ou toutes se valent a peu près ?

Blow J.
hobbs

superframboisier - 13 Jun 2017

Gibert sur St Michel pour des milliers d'occases :pauvre:

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