J'ai pas vu la déclaration de Houser, mais je doute qu'il ait dit "faire bosser" ses employés 100h par semaine (ou alors il est pas très malin en effet), si ?

Est-ce que c'était pas plus en mode "mes fiers soldats sont restés jusqu'à 100h/semaine parce qu'ils voulaient faire le goty blabla" ?

ça concerne les cadres dirigeants, je ne vois pas où est le scandale :insoumisrama: .

➔ munky - 16 Oct 2018

Oui. Bien sûr,  les cadres ont bossé 100h par semaine pendant trois semaines et tout s'est miraculeusement intégré dans le jeu par la volonté du saint esprit de peach

➔ TS_JBG - 16 Oct 2018

Ouais, je ne vois pas vraiment ce qui te parait si improbable et je ne vois pas où tu veux en venir.

➔ munky - 16 Oct 2018

Pardon : ça a été une douche froide pour moi.

J'ai beaucoup aimé le 4, et du coup le 5 c'est une déception quand tu t'attends à jouer à un truc similaire. Après les goûts et les couleurs... Et je m'attends à exactement la même chose avec RDR2. Je veux le même jeu que le 1, et j'aurais un truc batard issu d'un croisement entre RDR1 et san andreas (j'ai aimé san andreas).

J'aimerais bien savoir ce qui peut occuper autant les scénaristes sur les trois dernières semaines de développement.

➔ turon - 16 Oct 2018

C'est la ville qui fait le GTA. liberty city

➔ profil_supprime - 16 Oct 2018

Il dit dans la dernière ligne droite, pour les scénaristes ça devait être ya un moment (je doute pas que les autres xorps de métier ont du faire des heures sups aussi à la fin)

Enfin bon dans toutes les boîtes faire des heures sup pour finir dans les temps c'est pas surprenant, sinon faut chercher un poste de fonctionnaire en France hein

Edit par sherman (16 Oct 2018)

Secteur encore très immature si même les entreprises qui palpent un max ne savent pas s'organiser.

➔ Post-it - 16 Oct 2018

Ce genre de discours

Ils ont signé pour ça !

Cette phrase qui ne veut rien dire

GTA s'adresse à tout le monde, pas besoin d'être un prix nobel pour le comprendre. C'est la série qui surclasse tout le reste en terme de popularité parce que c'est un pot pourri : monde ouvert détaillé, bagnoles, violence, gunfight, parodie, gameplay accessible, surenchère.

Après je pense que vous sous-estimez la popularité de RDR. Ca va se vendre par palettes. Dans le fond ça reste très similaire, dans une époque et un contexte différent, et avec un ton un peu plus sérieux.

Heureusement que les fins analystes de GR ne travaillent pas chez Rockstar

https://www.canardpc.com/374/crunch

Du coup, l'article de CanardPC sur la question.  Intéressant surtout sur la mauvaise gestion de planning et l'effet pas forcément très positif (pour le produit) de cette gestion.

➔ .O. - 16 Oct 2018

Il y a eu récemment, sur Twitter, plusieurs personnes ayant travaillé ou ayant refusé de travailler pour Rockstar qui ont fait part de leur expérience globale dans l'industrie du jeu vidéo. Le constat semble être le même partout et c'est assez flippant surtout quand d'autres personnes ayant travaillé dans cette industrie ont commencé à parler de leurs expériences.

Déjà pour les QA testers, la pression est juste gigantesque. Plusieurs anciens QA testers ont témoigné qu'il est interdit de prendre un arrêt-maladie sinon c'est la porte et si tu salopes le travail car tu es malade et complètement à l'ouest, c'est aussi la porte. Prendre des congés est également très mal vu et peut entraîner des stagnations de salaire voir même des sanctions hiérarchiques.

De manière générale, il est attendu des salariés qu'ils travaillent même la nuit en plus des horaires infernaux (particulièrement durant les périodes de "crunch"). Toujours sur Twitter, d'anciens employés (dont des anciens de Rockstar) ont témoigné qu'à plusieurs moments et cela pendant des mois, dormaient sur place dans les locaux et se relayaient 24 heures sur 24. Et encore une fois, si tu tombes malade ou qu'à cause de l'épuisement tu n'es pas capable de fournir un travail de qualité, c'est la porte. Et bien entendu l'extrême majorité des heures supp' ne sont pas payées

Une autre personne qui avait été approchée par Rockstar a expliqué que lors de l'entretien d'embauche, on lui demandait 80 heures par semaine en plus des périodes de "crunch" en plus de devoir accepter des semaines où il devra travailler de nuit. Il a refusé mais un ancien employé de Rockstar a déclaré que lui il a carrément fait un burn-out après 2 ans. D'ailleurs Houser a reçu quelques réponses insultantes de la part d'anciens employés de Rockstar qui ont déclaré qu'il mentait comme un arracheur de dents et que ça ne concerne pas uniquement les cadres, ni les scénaristes mais tout le monde et que c'est obligatoire.

Certaines personnes ont fait remarquer qu'aux États-Unis, cette industrie est relativement jeune et que la représentation du travail (syndicats etc) est quasiment inexistante et que d'énormes pressions sont réalisées par la hiérarchie sur les employés afin qu'ils ne se syndiquent pas.

Le problème semble être légèrement plus grave

Mdr tous ces fdp à la mentalité de fonctionnaires français qui se plaignent parce qu'ils ne veulent pas bosser.

Ah, ce n'est pas un studio français ? ah mince, je ne comprends plus alors :sherman:

➔ NoVa - 16 Oct 2018

Normal il y a presque aucun syndicat, les pseudo journalistes sucent le sell mais c'est un syndicat de patron type medef, il a fallu attend cette année pour avoir un syndicat d'employer en france.

Edit par ashitaka18 (16 Oct 2018)

➔ hichanbis - 16 Oct 2018

C'est pour ça qu'ils attendent les dernières semaines

tjrs un peu gêné de trainer sur gr entre tous ces grands patrons qui ont deja tant fait dans leur vie

les empires de dingo que vous avez du monter

➔ sherman - 16 Oct 2018

Avec le turnover que l'on connait. Tu vas nous sortir la grande distrib après?

Edit par TrinitronGO (16 Oct 2018)

bang bang sosa sosa

">https://twitter.com/julienchieze/status/1052254306945110016

➔ Invite - 16 Oct 2018

j aurai bien dit

travaille 7 jrs pendant 14h pour comprendre que c est pipo

mais dans ton cas je me limiterai à

travaille un jour

et c est vous les insiders « on le sait depuis des annees »

culotté de retourner la situation