L'homme le plus cheap du monde.
Nyzer

Yoruichi89 - 23 Jul 2017

Whaou.

Donc selon elle une personne blanche ne pourra jamais être victime de racisme anti-blanc, parce qu'elle est blanche.
Et que si une personne blanche pensait que le racisme anti-blanc existait, cela n'impliquait pas un même degré de racisme que le racisme envers des gens de couleurs, parce que derrière le racisme anti-blanc on attaque automatiquement un groupe, et non une individualité (individualité qui serait donc propre au racisme lié aux gens de couleur).

Quel est son argumentaire pour justifier ces différences de corrélations entre individualité/groupe et racisme blanc/couleur : rien, nada, on ne sait pas, elle ne l'explique pas (mais par contre il faut s'éduquer pour accepter cette différence de jugement. Génial.).

Après je ne comprend pas non plus la logique qui consiste à rendre le groupe d'homme hétéro cis genre uniquement responsable d'une absence de privilège envers les minorités.
Mais sur quoi elle base son argumentaire stigmatisant ?

Sous le simple prétexte que cette catégorie est majoritaire ?
Mais quelle est la valeur de l'argumentaire si il se révèle que ce groupe est bien plus progressiste sur les questions d'égalité que d'autres groupes minoritaires en terme de proportion ? J'aimerai bien qu'elle nous l'explique.

Elle pense peut être que les minorités adhèrent automatiquement à sa vision égalitariste de la société sous le simple prétexte qu'elles sont des minorités ?
Si c'est le cas je comprend mieux par exemple son déni envers le racisme anti-blanc, puisque ça consolide sa vision complètement binaire de la société française.

C'est étrange mais tout ça me fait un peu penser à la vision simpliste et binaire de l'idéologie communiste du début du 20eme siècle.
Sauf qu'aujourd'hui on ne réduit plus le problème sociétal à une lutte des classes, mais à une lutte des genres.