Invité(e)
Kenjin

Beauce_de_Findenivot - 19 Feb 2010

a écrit :

Mais cette débauche gestuelle construite autour d'un gameplay aussi généreux que welcoming, faisant honneur à la grande tradition du gamedesign japonais, eut été bien vaine sans un vaisseau de chair, ici une héroïne, à la hauteur de sa prodigalité. Que la puissance d'évocation proprement sexuelle des chorégraphies de cette créature, sans doute la plus innocemment perverse jamais mise en mouvement, participent sans jamais trahir à son ambition ludo spectaculaire totale (« Non stop climax action », comme le définit Kamiya) constitue un exploit pop culturel majeur. Du beat'em-all, Bayonetta constitue le Kama-sutra autodidactique.

ce passage smiley11